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mercredi 29 juin 2005, 20h54

Nicolas Sarkozy quittera le gouvernement pour la campagne présidentielle

PARIS (AP) - Nicolas Sarkozy court-circuite la première conférence de presse de Dominique de Villepin. Un mois après son retour-surprise au gouvernement, "Le Figaro" publie jeudi un long entretien avec le numéro deux du gouvernement, qui confirme son intention de quitter le gouvernement au début de la campagne présidentielle.

Le ministre de l'Intérieur réclame à nouveau des "peines planchers" pour les délinquants multirécidivistes, malgré l'opposition du garde des Sceaux Pascal Clément.

Dans cet entretien, M. Sarkozy expose ses idées sur tous les sujets, et en premier lieu sur les dernières polémiques qu'il a ouvertes par ses déclarations fracassantes sur l'affaire Crémel ou le drame de la Courneuve.

Il précise ainsi ses propositions sur les multirécidivistes, qui "doivent être plus lourdement sanctionnés" au moyen de "peines planchers".

Le No2 du gouvernement, qui plaidait déjà pour cette solution lors de son premier passage place Beauvau, juge "curieux" le raisonnement de ceux qui mettent en avant son caractère anticonstitutionnel. "Mais quand Alain Juppé se voit infliger une peine automatique d'inéligibilité, cela ne choque personne! Il faudrait donc s'offusquer lorsque c'est un dealer ou un assassin qui subit le même sort?", s'exclame-t-il.

M. Sarkozy, qui se dit "heureux" de voir que Jacques Chirac s'est rallié à son idée d'une loi contre les récidivistes, propose que ces derniers soit déférés en comparution immédiate et "soumis à un régime d'aménagement de peine plus sévère".

Il espère être suivi par le gouvernement. "Si nous ne faisons rien, j'ai la conviction qu'en 2007 le désir d'alternance ne sera pas entre la gauche et la droite, mais entre les extrémistes et les républicains", met-il en garde.

Le ministre de l'Intérieur persiste et signe sur une autre de ses propositions, mettre en oeuvre une responsabilité professionnelle des magistrats pour sanctionner leurs "erreurs d'appréciation", comme celle qui a conduit des juges à remettre en liberté un des deux meurtriers présumés de Nelly Crémel. "Puisque c'est la responsabilité du juge, il doit assumer", fait-il valoir.

Fidèle à son habitude, M. Sarkozy continue à empiéter allègrement sur les domaines de compétence de ses collègues. Même s'il affirme que le plan Villepin pour l'emploi est "utile", le président de l'UMP estime qu'il "ne faut pas avoir peur de réformer notre législation sociale ni de s'attaquer aux rigidités du marché du travail". Il demande ainsi une réflexion sur "un système de sanctions pour les chômeurs qui refusent plusieurs offres d'emploi".

Alors que le gouvernement va limiter en 2006 à 5.100 postes la baisse des effectifs dans la Fonction publique, il maintient sa proposition d'un "système gagnant-gagnant" pour recycler les économies dégagées par le non-remplacement de tous les départs en retraite: "la moitié irait à la réduction des déficits, l'autre moitié à l'augmentation du pouvoir d'achat des agents publics".

Nicolas Sarkozy continue également de demander la poursuite en 2006 de l'installation de radars automatiques au bord des routes, alors que son collègue des Transports Dominique Perben a annoncé le 21 juin une "pause" lorsque les 1.000 appareils prévus seront installés.

Sur tous ces sujets, le ministre de l'Intérieur estime que ses idées "avancent". Il se défend "d'en faire trop" et juge "absurde" le reproche de ceux qui le soupçonnent de courir après le Front national. "S'il y a aujourd'hui un électorat à récupérer, c'est surtout l'électorat populaire abandonné par la gauche", souligne le président de l'UMP.

Quant à ses formules-chocs sur le "nettoyage" de La Courneuve ou les "fautes" des juges, il affirme qu'il ne "cherche nullement à choquer". "Je suis serein, apaisé et déterminé. Je dis ce que je crois être juste", explique-t-il.

Nicolas Sarkozy affirme ne pas avoir l'intention de quitter le gouvernement dans l'immédiat. "Je suis là pour aller jusqu'au terme de ma mission au service de la sécurité des Français. Une fois la campagne présidentielle engagée, il sera temps de prendre d'autres décisions", annonce le ministre de l'Intérieur, démentant les rumeurs selon lesquelles il chercherait actuellement à créer une crise pour justifier un départ anticipé. AP

Ecrit par Billou, le Mercredi 29 Juin 2005, 22:48 dans la rubrique "Actualités".


Commentaires :

  cmflLlNLwmSr
07-06-08
à 13:13

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  dqCtpoerfM
25-07-08
à 07:09

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