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Sarkonon

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Sarkozy ? Sarkonon ! - Le Blog anti Sarkozy
Samedi (17/09/05)
Stomy Bugsy chez Ardisson
--> Sans commentaire

Voici une copie de l'intervention de Stomy Bugsy chez Thierry Ardisson, le 10 septembre dernier dans "Tout le monde en parle". Copie trouvée sur le site http://www.grioo.com/info5370.html.

"Dans un pays comme la France
des familles nombreuses entassées, dans des pièces insalubres, minuscules avec des cafards, des rats et des souris, certaines de ces familles sont sur liste d'attente, pour un appartement depuis environ quinze ans, en attendant, chaque instant représente un risque de court-circuit, d' inondations, d'effondrements de murs et j' en passe...

Ces familles vivent en permanence dans le danger, dont la grande majorité est d'origine d' Afrique noire.

Comme vous le savez, l'avez vu, je ne vous apprends rien, au cours de ces six derniers mois, une cinquantaine de personnes sont mortes brulées ou intoxiquées, par les flammes de 3 incendies dont 36 enfants, sans compter une dizaine de blessés graves et des familles rescapées complètement traumatisées.

Deux heures après le drame, du Boulevard Vincent Auriol,
M. Sarkozy se pointe comme une fleur, et ose demander à une réscapée de l'immeuble si les victimes étaient en situation régulière, moins d' une semaine après la catastrastophe, plutôt que de tout mettre en oeuvre pour restaurer ces taudis ou reloger tout le monde les forces de l' ordre n'ont rien trouvé de mieux à faire que d'expulser les familles de deux bâtiments sans proposer de les reloger.

Ah si, ils ont décidé de les parquer dans de minuscules chambres d'hotels proche du périphérique, ils ne sont toujours pas sortis de l' auberge,

Et tout ça le jour de la rentrée des classes, est-cela l' état d' esprit de tout le peuple Français?" (Stomy hoche la tête )

"Si c'est comme ça que le gouvernement règle ses problèmes, qu'il ne s'étonne pas de se voir cracher à la face dans les quartiers sensibles,

je vous rappelle que ces gens sont venus en France terre d'accueil pour travailler honnêtement et durement, je vous rappelle aussi que ces familles payent des loyers, des impôts et que la plupart sont en situation régulière et même si elles ne l' étaient pas, en ce temps de catastrophe naturelle, un homme reste en homme avec ou sans papiers, aucun d'eux ne mérite qu'on les traite comme des chiens, des sous-hommes ou des citoyens de seconde zone, aucune mère ne mérite d'être séparée de ses enfants, comme aucun père ne mérite des coups de matraque devant sa famille pour les déloger,

J'accuse les propriétaires et les agences immobilières de ne pas vouloir louer leurs appartements aux africains et aux immigrés en genéral,
J'accuse l'Etat de fermer les yeux sur ces réalités, mais quoiqu'il en soit même les yeux bandés et les oreilles bouchées rien ne pourra vous empêcher de respirer l'odeur des corps calcinés

QUE LEURS AMES REPOSENT EN PAIX..."
( le public applaudit et stomy les remercie )

"Des marches silencieuses ont été suivies en mémoire de toutes ces victimes, c'est bien...

Mais aujourd'hui, ce qu'il faut c'est faire du bruit.
Réclamer des dédommagements pour les familles des victimes, demander la construction de plus de logements sociaux, demander l' interdiction des expulsions sans relogement, et demander la réquisition et la réabilitation de tous les logements vides, et croyez moi il y en a!

Avec tous ce que la France a pris à l'Afrique, en hommes, en richesses, en sang, elle pourrait au moins être juste et laisser aux enfants de ceux qui sont morts pour la Mère Patrie, la posibilité de vivre et d' habiter autre chose que des taudis.

unissons nous dans un esprit de liberté et de fraternité et d' équité"
(Aplaudissements et fin)

Hamed Daye (membre du Secteur Ä) et Stomy Bugsy lors de la manifestation du 30 Août
© grioo.com

Ecrit par Billou, a 15:53 dans la rubrique "Divers".
Lire l'article ! (suite de l'article + 0 commentaires)


Jeudi (11/08/05)
Prémonitoire

Voici un texte qui vient de ce site : http://eklektik2.free.fr/sarkonon.htm

Il n'est pas de la toute première fraîcheur, et pour cause puisqu'il brille par son côté prémonitoire, en plus d'une analyse brillante.

Nicolas Sarkozy prépare ses arrières... en cas de victoire du NON

 

Nicolas Sarkozy a trouvé son gimmick de campagne : " si vous n'aimez pas cette Europe, votez OUI " . Cette formule, qu'il reconnaît lui-même avoir mis du temps à trouver, lui permet de dire que les critiques des partisans du NON sont fondées tout en faisant campagne pour le OUI.
Tartuffe limite ainsi la casse en cas de rejet du traité…

Si le NON l'emporte, il pourra rappeler qu'il "nous avait compris, lui", il pourra dire "avec un OUI on aurait renégocié plus facilement... mais enfin, je vais voir ce que je peux faire... l'essentiel c'est de faire entendre la voix de la France. Dans deux ans, puisque le président ne démissionnera pas malgré ce désaveu cinglant, vous aurez l'occasion de me confier le soin de faire entendre votre voix. J'ai toujours dit, notamment pendant la campagne, que vous aviez raison, que je partageais votre analyse… etc…"

Si le OUI l'emporte, il dira que c'est grâce à son pragmatisme, à son refus de nier les arguments pertinents du NON... et que d'ailleurs, s'il est élu en 2007, il en tiendra compte... pour rassembler les Français...etc..." Puis il entrera à Matignon en sauveur et ce sera fini.

J'ai vraiment une préférence pour la première solution : si celui qui a choisi le mauvais cheval en 1995 et foiré le référendum Corse, se trompe encore de train en 2005, il aura peut-être du mal à faire croire qu'il est apte à faire les bons choix pour la France…

Que rajouter après ça ? Que cet internaute si éclairé était tout sauf le seul à souhaiter la victoire du non, mais pas SEULEMENT pour mettre Sarkozy en porte-à-faux, mais c'est un autre débat. Il est évident qu'un type qui s'est si souvent trompé et ramassé (seule la mairie de Neuilly ne lui a pas résisté - quel exploit non ?) et qui à côté de ça bénéficie d'une telle côte de confiance des Français peut sereinement contacter le Guinness Book, qui ne pourra pas se permettre d'ignorer ce cas quasi inédit de "grand écart" médiatique. Son forcing médiatique depuis plus d'un an maintenant associé à la longueur très médiocre de la mémoire des gens sont sans doute les meilleures explications à ce phénomène. Quant au fameux "au moins lui il bosse" (bah oui, y en a qui le pensent, sinon il serait pas si populaire et donc dangereux, et ce blog n'existerait pas, ce que je préfèrerait vous vous en doutez, sentiment que je partage sans doute avec l'ANPE par exemple), on peut donner du crédit à ce poncif si on considère que courir après les caméras pour se montrer avec les pompiers, les flics, Drucker, dans les canadairs (je vais y revenir), des commerçants pas contents, bref avec tout et n'importe quoi du moment que ça sert sa "cause" (quitte à en faire trop, mais tant que ça marche, il aurait tort de se priver), mais aussi tirer sur les ambulances genre Chirac (plus que sur la Gauche d'ailleurs - certes assez ridicule avec sa "bataille de mammouths" mais très menacante en terme électorale suite à ses derniers succès - hors référendum, bien sur - vous avez remarqué ? Remarquez c'est classique, tous les populistes font pareil, regardez Le Pen : d'abord nettoyer autour de soit avant de s'attaquer à l'"ennemi"), c'est du boulot, alors oui il bosse. Mais affirmer qu'il bosse au service des Français (enfin autres que ceux qui payent l'ISF je veux dire), même pas la peine de relever tellement c'est drôle.

Billou.

Ecrit par Billou, a 13:15 dans la rubrique "Divers".
Lire l'article ! (suite de l'article + 2 commentaires)


Lundi (01/08/05)
Sarko Skanking
--> Quel bonheur...

J'ai rarement pu écouter quelque chose d'aussi jouissif :

http://onsfoudkilao.neufblog.com/reggaetime/files/the_sarko_skanking.mp 3

Sinon, me voilà de retour de vacances, je me dois de revenir sur ce 14 juillet 2005 devenu mythique :

Sarkozy s'attaque au 14 Juillet

Par leftmaster sur Tout-O.com, publié le Jeudi 14 Juillet 2005 à 03:37


Nicolas Sarkozy, qui aime décidemment que l'on parle de lui, a décidé cette fois de s'attaquer, à la veille de l'intervention présidentielle du 14 juillet, à cette dernière qu'il juge "inutile" et qui n'a "pas grand intérêt".

Le président de l'UMP a même estimé que le chef de l'Etat ne devait s'exprimer que "lorsqu'il y a des choses à dire". "Pourquoi perpétuer cette tradition alors qu'il n'y a pas d'actualité et que les Français ont déjà la tête en vacances", a-t-il ajouté.

Selon un participant du petit-déjeuner hebdomadaire de la majorité à Matignon, où Nicolas Sarkozy a tenu ses propos, il a ensuite demandé ce que pourrait bien "dire le président". "Mais il va parler de tout !", lui aurait alors répondu Dominique de Villepin, en l'invitant à appeler le chef de l'Etat s'il avait des "idées à lui transmettre". Une remarque qui "agacé" le ministre de l'Intérieur. "Il s'imagine peut-être que le seul légitime à parler c'est lui", a ajouté ce participant.

Ce n'est même pas qu'il se l'imagine, puisque le principe de son action ce n'est pas d'avoir une conviction prometteuse d'actes (tout aussi libéraux les uns que les autres) mais de faire croire aux gens qu'il en a et qu'il compte bien les appliquer, contrairement au reste des politiques...

Puis le lendemain, dans Libé, voici le feu d'artifice, en forme de coup de grâce :

14 JUILLET

 

Sarkozy : "La France gronde"
Dans une critique implicite de Jacques Chirac après son intervention le 14 juillet, le ministre de l'Intérieur a estimé, place Beauvau, qu'à "force d'immobilisme, la France gronde". "J'essaie de l'entendre".

Essaie pas trop Nico, tu vas te choper une autite.

 


Nicolas Sarkozy (Sipa)
 


Le ministre de l'Intérieur et président de l'UMP Nicolas Sarkozy a déclaré jeudi 14 juillet, dans une critique implicite de l'action du président Jacques Chirac, qu'"à force d'immobilisme (...), la France gronde" et qu'il essayait "de l'entendre". 

Peut-être qu'en parlant moins ton écoute serait meilleure !


"A force d'immobilisme, à force d'user de la langue de bois, à force d'éluder la réalité des faits, à force d'esquiver les défis, eh bien, on l'a vu, la France gronde. J'essaie de l'entendre", a affirmé Nicolas Sarkozy en faisant ainsi référence au rejet par référendum, le 29 mai, de la Constitution européenne.

Bien parti pour succéder à Chirac jusque dans ses problèmes d'auditions le Sarko. Fallait y penser.

Autre article, sur Wanadoo.fr :

Lundi 1 Août 2005

Sarkozy a profité du 14 juillet pour s'opposer encore à Chirac

Nicolas Sarkozy a profité du 14 juillet pour s'opposer une nouvelle fois au président Jacques Chirac, le ministre de l'Intérieur dénonçant l'"immobilisme" face à une "France qui gronde" alors que le chef de l'Etat préférait positiver et vanter les "atouts" du pays.

M. Sarkozy, qui se sent manifestement en position de force depuis que M. Chirac lui a permis de retourner au gouvernement tout en conservant la présidence de l'UMP, n'a pas hésité à braver un président affaibli par les revers du référendum et des Jeux olympiques, et dont la cote de popularité reste au plus bas.

Dès mardi, il a douté de "l'intérêt" de la traditionnelle interview télévisée du chef de l'Etat, lors d'un petit déjeuner de la majorité à Matignon.

Jeudi, après une apparition d'une demi-heure à la garden-party de l'Elysée, M. Sarkozy est retourné à son ministère pour une réception réservée habituellement aux policiers, gendarmes et pompiers, mais cette année ouverte à certains journalistes.

Dans un bref discours, prononcé quelques minutes avant que ne débute l'interview de M. Chirac, le ministre de l'Intérieur a implicitement critiqué l'action du chef de l'Etat.

"A force d'immobilisme, à force d'user de la langue de bois, à force d'éluder la réalité des faits, à force d'esquiver les défis, eh bien, on l'a vu, la France gronde. J'essaie de l'entendre", a affirmé M. Sarkozy en référence à la victoire du non au référendum du 29 mai sur la Constitution européenne.

Alors que les piques n'ont pas manqué ces dernières semaines, M. Chirac s'est abstenu de polémiquer avec son ministre d'Etat.

"Il faut toujours lancer les débats", a dit le président après les multiples prises de position de M. Sarkozy (récidive, responsabilité des juges, discrimination positive, quotas d'immigration, modèle social français, Turquie).

Interrogé sur son rappel à l'ordre du 14 juillet 2004, - "je décide, il exécute", M. Chirac a tempéré: "c'est la règle dans nos institutions: le président de la République prend un certain nombre de décisions, en concertation bien sûr avec le gouvernement, et le gouvernement les exécute".

Il n'a pas non plus lancé d'avertissement à son ambitieux ministre concernant la course à l'Elysée en 2007. Ce sujet est "tout à fait prématuré", a-t-il jugé.

Tu débarques Chichi, ça fait 1 an et demi que c'est le cas !

 

Alors que ses proches lui rendaient compte de l'interview présidentielle, qu'il n'a pas écoutée en direct, M. Sarkozy s'est levé pour une parodie de salut militaire: "l'essentiel, c'est que mon chef me trouve bien", ont relaté vendredi Libération et Le Figaro.

Nicolas Sarkozy, tous les jeudis soirs au café de la gare dans son nouveau spectacle, 10 euros consommation comprise.

 

Ces saillies n'ont pas amusé les fidèles de Jacques Chirac.

C'est pas gagné pour le stand up on dirait, Nico !

 

"Ce n'est pas parce qu'on trépigne en répétant: + je veux être président, je veux être président, qu'on est élu", a ajouté un autre partisan du chef de l'Etat.

Ah, pourtant ça a marché avec Chirac ?

Enfin, dans le Monde :

Il s'effondre sur un fauteuil dans la fraîcheur de son bureau. Trempée de sueur, sa chemise blanche lui colle au corps. "Ce n'est plus le même métier, souffle-t-il, j'arrête." Nicolas Sarkozy, qui n'est pas accompagné de son épouse Cécilia, vient de tester plus d'une heure durant sa popularité de star du rock ou du cinéma. Il feint de s'en désoler. A l'Elysée, il a signé les autographes à tour de bras et posé cent fois pour des photographes amateurs. "J'ai dû finalement battre en retraite."

Il sait vraiment pas ce qu'il veut, pov bout d'chou. Il met en avant sa famille pour sa campagne puis se plaint lorsqu'on parle de ses ennuis conjugaux, et là il se plaint de quelques autographes... pov ch'tit père.


Seuls 100 mètres séparent le palais présidentiel et la place Beauvau. Mais il explique encore qu'il a mis "une demi-heure !" à les parcourir tant il était arrêté par les badauds.

Pas de stand up, pas de sport non plus... non vraiment Nico, président y a que ça que tu sais faire.

Sur la pelouse de son ministère, 2 000 invités l'ont photographié sous tous les angles. "Qu'est-ce que ce serait si on était en campagne...", ironise-t-il.

On t'as dit pas d'humour Nico !

Quelques instants auparavant, sur le perron, place Beauvau, le ministre de l'intérieur vient de prononcer "son" allocution du 14 juillet devant un auditoire de policiers. "Je n'ai pas vocation à démonter tranquillement les serrures à Versailles pendant que la France gronde", lance-t-il dans une allusion à Louis XVI, sourd au tumulte de 1789. "Depuis vingt ans, à force d'immobilisme, à force d'user de la langue de bois, d'éluder la réalité des faits et d'esquiver les défis, la France gronde. (...) Je suis prêt à donner beaucoup. Les Français demandent de l'action, ils demandent que l'on bouscule les idées vieillies."

Comme la démagogie, le populisme, le libéralisme ? C'est vrai, on y avait pas pensé... comparer Chirac à Louis XVI, c'est-à-dire à un chef d'état Français guillotiné par le peuple, c'est évidemment une nouvelle étape dans la guerre Chiraco-Sarkozy. Pour moins que ça, Jospin, en ayant vaguement ironisé sur l'âge de Chirac (mais juste avant les élections, là Sarkozy va pouvoir enterrer ça), a perdu une élection qui lui tendait les bras, mais la situation n'est pas la même : Chirac est haï, décridibilisé, fini, alors qu'il était populaire à l'époque, grâce notamment à la conjoncture de l'époque et l'image de son 1er ministre. Cependant, de 2 choses l'une : ou Chirac résiste bien, et ils font tous les 2 perdre la droite, et on est contents, mais ça c'est de la science-fiction ; ou bien Sarkozy enterre Chirac - malgré tout jamais aussi dangereux que lorsqu'il est à terre, et trahi - et là, on est dans la merde.

Aux journalistes, invités pour la première fois à cette garden-party, il lance: "Vous préférez me voir ici, plutôt que d'écouter le président ?"

Ni l'un ni l'autre à priori !

LA TÉLÉVISION RESTE ÉTEINTE

D'ailleurs, lui-même se soucie peu, veut-il faire croire, de l'intervention de Jacques Chirac qui vient de commencer. La télévision de son bureau reste ostensiblement éteinte. L'interroge-t-on sur ce que va bien pouvoir dire le président, il répond, sec et effronté : "Je ne suis pas son porte-parole."

Mais le chef de l'Etat reste son obsession. Il l'attaque devant la presse. Oui, la tradition de l'intervention présidentielle le 14-Juillet est une "survivance inutile". Oui, l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF) doit être réformé : "Je ferai des propositions rapidement. Pas pour la Saint-Glinglin", lâche-t-il.

Dommage, ça nous arrangerait. Réformé dans quel sens ? Supprimé, augmenté, baissé ? Quand je pense qu'à chaque élection les gens votent à gauche et qu'ils sont prêts à donner les clés du pays à cet individu, les bras m'en tombent.

Voici Brice Hortefeux, le ministre délégué aux collectivités territoriales

... et au service particulier de Sarkozy, la Voix de son Maître en somme.

, qui entre dans le bureau du ministre de l'intérieur. Lui a écouté le chef de l'Etat. Rapide débriefing. Conclusion de M. Sarkozy: "Je progresse dans le débat d'idées."

Bien sûr ! J'allais le dire !

Le ministre de l'intérieur déroule enfin son programme d'été: une rencontre, lundi 25 juillet, avec le premier ministre espagnol, José Luis Zapatero ; une autre début août avec le président du conseil italien, Silvio Berlusconi, une troisième avec la candidate à la chancellerie des partis chrétien-démocrate et chrétien-social allemands, Angela Merkel, et enfin, début septembre, avec le premier ministre britannique, Tony Blair.

Officiellement, il s'agit de préparer la convention de l'UMP du 22 septembre consacrée à une "nouvelle politique pour l'Europe". Chacun comprend qu'il souhaite profiter de la faiblesse du chef de l'Etat. Seul projet de vacances : un week-end prolongé en Corse autour du 22 juillet, avec ses amis acteurs. "Il y aura Christian Clavier, et peut-être Jean Reno. Si on peut, j'aimerais bien aller manger une pizza en Sardaigne..."

Amis Indépendantistes Corses, pour une fois que vos plastiquages de villas seraient utiles, vous savez ce qu'il vous reste à faire : la politique et le cinéma vous en seront éternellement reconnaissants !

Philippe Ridet

Article paru dans l'édition du 16.07.05
 
 
 A très vite !






 

Ecrit par Billou, a 15:04 dans la rubrique "Divers".
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